effectivement un article paru sur la Transalpine tibétaine dans Paris-Chamonix hiver 2000-2001
http://www.clubalpin-idf.com/brochure/p ... ix_147.pdf
il y a aussi une asso du Caf qui fait de l'humanitaire, je me rappelle aussi d'une polémique autour d'un projet d'école de guides à Lhassa un peu confus et face auquel la club s'était positionné.
"France-Tibet 50", cinquante ans d'amitiés franco-tibétaines
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alpinfo
Re: "France-Tibet 50", cinquante ans d'amitiés franco-tibéta
NB - parmi les cinquante ans d'amitiés franco-tibétaines est mise en avant la "Transalpine tibétaine", marche à travers les Alpes durant l'été 2000, soutenue alors par le CAF.
Transalpine tibétaine http://www.alternative-tibetaine.org/tr ... etaine.htm
ou sur France-Tibet 50 https://www.facebook.com/France.Tibet.50
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alpinfo
"France-Tibet 50", cinquante ans d'amitiés franco-tibétaines
pour les amoureux de la montagne, du Tibet, de l'Himalaya et de leurs peuples
n'hésitez pas à "partager" et "aimer" la page de Facebook
"France-Tibet 50", cinquante ans d'amitiés franco-tibétaines
Page sur FACEBOOK : https://www.facebook.com/France.Tibet.50
Cette page "France-Tibet 50" est une réponse au lancement de l'opération "France-Chine 50" visant à célébrer le cinquantenaire des relations diplomatiques franco-chinoises depuis la reconnaissance de la République populaire de Chine par la France du général de Gaulle, en 1964.
Car cet anniversaire peut difficilement occulter une autre réalité, celle des amitiés franco-tibétaines. Durant ces mêmes cinquante ans, les Français, nombreux, officiels ou citoyens, n'ont cessé de manifester leur attachement au "Pays des Neiges", à son peuple, à sa culture, à sa philosophie. Les échanges humains et culturels qui se sont multipliés tout au long de ces années ont fini par ancrer le Tibet dans le coeur des Français et la France dans celui des Tibétains.
C'est de cela que "France-Tibet 50" entend témoigner.
Il est vrai que l'histoire des amitiés franco-tibétaines est plus ancienne encore, et que son épisode moderne, marqué par le premier exil des Tibétains en 1959, devance d'ailleurs de quelques années le début des nouvelles relations diplomatiques franco-chinoises.
C'est ainsi que la même France du général de Gaulle accueillit les premiers réfugiés tibétains dès 1960. C'est également sous l'impulsion d'André Malraux qu'elle accueillit en 1962 vingt jeunes tibétains au titre de "pupilles d'État", l'État français s'engageant à pourvoir à leur situation matérielle et à leur éducation jusqu'à l'âge adulte. Depuis, les liens et les échanges n'ont eu de cesse de se renforcer entre les deux peuples.
En reconnaissant la Chine populaire, le général de Gaulle souhaitait "reconnaître le monde tel qu'il est". Pour réaliser pleinement ce souhait, encore lui fallait-il reconnaître le Tibet comme territoire occupé. Ce ne fut pas son choix à l'époque. Mais face à l'évolution du monde, il n'est pas impossible que cette logique de "reconnaître le monde tel qu'il est" nous réserve quelques surprises. Ainsi peut-être serons-nous amenés un jour à célébrer d'autres anniversaires dont l'histoire n'est pas encore écrite, comme celui des relations France-Tibet, lorsque le "monde tel qu'il est" aura à son tour évolué.
Cette rétrospective des cinquante ans, sinon plus, d'amitiés franco-tibétaines n'est finalement que le préambule de cette nouvelle histoire en train de s'écrire. Et lorsque le passé permet d'éclairer l'avenir, il s'agit alors même de prospective.
"France-Tibet 50"
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Car cet anniversaire peut difficilement occulter une autre réalité, celle des amitiés franco-tibétaines. Durant ces mêmes cinquante ans, les Français, nombreux, officiels ou citoyens, n'ont cessé de manifester leur attachement au "Pays des Neiges", à son peuple, à sa culture, à sa philosophie. Les échanges humains et culturels qui se sont multipliés tout au long de ces années ont fini par ancrer le Tibet dans le coeur des Français et la France dans celui des Tibétains.
C'est de cela que "France-Tibet 50" entend témoigner.
Il est vrai que l'histoire des amitiés franco-tibétaines est plus ancienne encore, et que son épisode moderne, marqué par le premier exil des Tibétains en 1959, devance d'ailleurs de quelques années le début des nouvelles relations diplomatiques franco-chinoises.
C'est ainsi que la même France du général de Gaulle accueillit les premiers réfugiés tibétains dès 1960. C'est également sous l'impulsion d'André Malraux qu'elle accueillit en 1962 vingt jeunes tibétains au titre de "pupilles d'État", l'État français s'engageant à pourvoir à leur situation matérielle et à leur éducation jusqu'à l'âge adulte. Depuis, les liens et les échanges n'ont eu de cesse de se renforcer entre les deux peuples.
En reconnaissant la Chine populaire, le général de Gaulle souhaitait "reconnaître le monde tel qu'il est". Pour réaliser pleinement ce souhait, encore lui fallait-il reconnaître le Tibet comme territoire occupé. Ce ne fut pas son choix à l'époque. Mais face à l'évolution du monde, il n'est pas impossible que cette logique de "reconnaître le monde tel qu'il est" nous réserve quelques surprises. Ainsi peut-être serons-nous amenés un jour à célébrer d'autres anniversaires dont l'histoire n'est pas encore écrite, comme celui des relations France-Tibet, lorsque le "monde tel qu'il est" aura à son tour évolué.
Cette rétrospective des cinquante ans, sinon plus, d'amitiés franco-tibétaines n'est finalement que le préambule de cette nouvelle histoire en train de s'écrire. Et lorsque le passé permet d'éclairer l'avenir, il s'agit alors même de prospective.
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