Picella Francesco
Encadrant Escalade sur murs
Vendredi calme en fin de mai,
Marc s’élance, sans grand émoi.
Cafiste à l’ouest de la cité,
Vers Paul Meurice, il va, pressé.
Il guette, regarde, mais rien ne bouge,
Le gymnase est vide, le temps s’allonge.
Pas une âme, ni bruit, ni voix —
Un doute l’effleure, glacé de froid.
Mais soudain Francesco paraît,
Un peu en retard, l’œil discret.
Heureusement Marc l’identifie,
Grâce au KiFaiKoi, sans accroc, sans souci.
Alors la séance peut commencer,
Tardive, mais bien orchestrée.
Et pour qu’à l’avenir tout soit plus clair,
Et que s'organisent les rendez-vous d’hier,
Pour mieux se joindre sans complication,
Je laisse mon numéro, pour la communicatIon.
0752679073