PARCOURS

Agréable car toujours en montagne ou dans des petits villages, peu de routes ou de pistes à emprunter.
Encore bien vert début juillet, par contre la floraison étant en avance cette année nous avions déjà les anémones pulsatiles « en cheveux » et les tapis de fleurs seulement à 2500 m.

Compte-rendu : sortie/fiche technique : 

Programme identique sur le terrain et sur la fiche à peu de choses près sauf le jour 1 j’ai choisi de passer par le nord, à savoir Col des Moussières et le col Saint-Antoine.

Détails ou précisions :

J4 : Entre Souliers et Fonts de Cervières, sur les conseils de vieux cafistes franciliens rencontrés à Souliers, nous avons fait le sommet du Grand Vallon au détriment du lac des Cordes, que 3 sont allés faire en AR sac léger. Sommet pas forcément très intéressant comparé au lac. En arrivant plus tôt et en laissant les sacs au refuge, faire le lac des Cordes sac léger, en boucle dans le sens anti-horaire serait un bon choix, par beau temps, me-semble-t-il.

J5 : Pic Malrif : si tout le monde était monté au Pic Malrif on aurait pu descendre directement au lac sans repasser par le col, via l’arête. Très beau belvédère.

J7 : Pain de Sucre : le balisage rouge ne prend pas toujours le chemin le plus facile !
Dalle (presque en haut) qui se contourne bien par la gauche. Descente pas si évidente que cela par l’autre chemin mais çà passe.

J8 : Pic de Château Renard, on cherche un peu l’itinéraire entre le refuge et la piste mais terrain très facile.

Chiffres : sources altimètre baro en cumul (temps stable) sauf J2 et J7 – GPS pour distance

J1 : Le Coin d’Eygliers – Furfande : +1588 / -521 – 16,6 km

J2 : Furfande – Brunissard (à compléter et vérifier) : +1188 / - 1668 - 

J3 : Brunissard – Souliers : +846 / -781 – 15 km

J4 : Souliers – Fonts de Cervières via Pic Grand Vallon : + 1100 / - 888 – 13,8 km

J5 : Fonts Cervières – Abries : + 825 / - 1283 – 14,5 km

J6 : L’Echalp – Col Vieux – Pain de Sucre – Refuge de la Blanche : +1760 / -1003 – 18,6 km

J7 : Refuge Blanche – Pic Chateau Renard – Saint Véran : +600 / - 1100 – 14,3 km

HEBERGEMENTS

Refuge de Furfande : bien, belles chambres de 4, refait à neuf récemment.
Gîte « les bons enfants » à Brunissard dans le village : bien, bon accueil.
Souliers « le Grand Rochebrune » : plus refuge que gîte, grand dortoir de 25 personnes, groupes mélangés, le covid nous avait habitué à des dortoirs par groupe homogène, cela surprend. Un vrai effort pour utiliser les produits locaux en circuit court. Surpeuplé.
Refuge des Fonts de Cervières : un site que j’aime beaucoup, été comme hiver ! Bon accueil.
Gîte 7 degré est à l’Echalp : belle maison, répartition du groupe un peu surprenante, dîner un peu trop léger (juste une crêpe aux épinards et des crudités + dessert)
Refuge de La Blanche : bonne adresse

Tous les petits déjeuners tenaient la route. Douches en fonctionnement et gratuites partout.

A noter : Petit-déjeuner du premier jour et douche (2 €) et dîner du dernier jour à l’hôtel Lacour à la gare de Montdauphin pour ceux qui le souhaitaient.

Finances : randonnée peu onéreuse bien qu’il n’y ait pas de refuge FFCAM car avec le train de nuit on gagne 2 nuits d’hébergements. On arrive à un prix de revient de 350 € environ pour un adhérent standard pour une randonnée de 7 jours effectifs dans des hébergements somme toute assez confortables. (en demi-pension)

METEO

Très beau temps, voire même un peu chaud malgré l’altitude moyenne élevée de ce massif.
Un gros orage juste sur nous le 2ème jour : cela reste impressionnant lorsqu’il y a simultanéité entre l’éclair et la foudre !

TRANSPORT

Taxi 8 places : Imbert
1) De la gare de Montdauphin au hameau du Coin au-dessus de Eygliers. le dimanche 3 juillet à 8h30 : 50 € 

2) De Saint-Véran à MontDauphin (la place forte) le samedi 9 juillet à 16h : 120 € 

A noter qu’au retour le taxi nous attendait à la gare au lieu de Saint Véran donc il est arrivé une heure plus tard et nous nous sommes fait déposer directement à la gare. Comme il faisait chaud nous n’aurions pas visité le fort de toute façon et on était aussi bien en haut.

Navette des Escartons : utilisée pour aller de Abries à l’Echalp (gratuite)

Bus régulier : pour aller en gare de Montdauphin depuis Saint-Véran pour le train de nuit mais dont l’horaire rend court le temps pour prendre la douche et le dîner, surtout en groupe, c’est pourquoi j’ai préféré le taxi.

COURSES - RAVITAILLEMENTS

Tous les hébergements proposent des pique-niques plutôt bons : salades, sandwiches, entre 10 et 12 €
Le gîte de Souliers propose une alimentation basique : fromage, pain, charcuterie, fruit.
Abries : épiceries, traiteur, boulangerie, bars.

GROUPE

Bon groupe bonne ambiance malgré les soucis de santé. 

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Belle version pour cette 3ème et dernière étape, contrairement à l'an dernier nous avons eu un très beau temps !

Très belles vues sur les Alpes et le lac Léman.

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Belle sortie dans une belle région, effectuée sous une belle météo !

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Nous avons randonné comme prévu depuis le fond de la vallée de l’Artigue jusqu’à Llivia, en traversant les hautes montagnes d’Andorre, mais également les vallées d’Arinsal, d’Ordino et d’Encamp.
Nous avons terminé par les bains chauds de Dorres au nord-ouest de Llivia.

Le temps a été beau tout au long de notre périple, de plus en plus chaud au fil de la semaine. Les orages ont gagné la Cerdagne en fin d’après-midi, lorsque nous y étions, mais nous avons toujours évité de nous faire mouiller.

L’Andorre a été une découverte pour nombre d’entre nous. Arinsal est une station de ski, sans activité pendant l’été. Ordino est une ville très touristique, bien fréquentée en été. L’architecture y respecte l’architecture traditionnelle du pays (murs en pierre et toits d’ardoise). C’est une ville agréable, très étalée dans le fond de la vallée, qui a mangé toutes les terres arables. La ville d’Encamp est une ville habitée par les Andorrans qui est beaucoup moins jolie qu’Ordino, mais où se trouvent tous les magasins dont on peut avoir besoin (malheureusement fermés lors de notre passage, un dimanche). Elle s’étale également dans le fond de la vallée. L’agriculture et l’élevage ont beaucoup souffert du développement touristique de l’Andorre.

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Tour partiel du limousin, un peu chaud, surtout l'absence de nuages et donc des UV en permanence, un peu désagréable. Parcours tranquille avec de belles forêts et de beaux villages, Treignac entre autres et visite de Limoges intéressante. A noter, un manque de sentiers et de gîtes, l'office de tourisme du Limousin en est apparemment conscient et doivent y remédier dans l'avenir selon leurs dire. Groupe sympathique, bon séjour.

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Très belle région, avec certains parcours peu fréquentés, en particulier dans le Parc du Mont Avic. De nombreux lacs glaciaires, petits et grands, tous aussi beaux. Des petits sommets faciles d'accès, étaient sur le parcours, tel le Mont Panaz, la Pointe de Mézove ou des cols panoramiques, tels col Fussy, col Fenêtre, nous ont offerts de magnifiques points de vue sur le Mont Rose, puis sur le Grand Paradis. Nous avons traversé de belles forêts de mélèzes d'un vert tendre, offrant une fraîcheur agréable dans cet été caniculaire. Nous avons aperçu marmottes, bouquetins et chamois et nous avons croisé de nombreuses vaches, dont une rencontre insolite au lac Ponton où nous leur avons laissé la place !

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Tous les ingrédients étaient présent pour ce bivouac. Bonne météo, le Brame du Cerf c' est fait entendre une bonne parti de la nuit. Pour quatre participants, c'était leur première nuit en forêt. Ils ont appréciés.

Alain

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Les conditions météo ont été meilleures que prévues : le samedi, petite bruine en journée mais nous avons pu monter la tente et dîner au sec. La journée du dimanche s’est déroulée sans pluie.
 
L’itinéraire initial du dimanche après-midi a dû être revu en raison d’un chemin indiqué sur la carte qui n’existe plus en réalité. Il a fallu accélérer le rythme de marche afin de pas manquer le train prévu.
 
A la demande d’une participante, l’horaire de départ des prochaines RC sera moins matinal (train du samedi à 9h plutôt qu’à 8 heures).

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En ce début d'octobre, météo clémente, belle campagne et ces animaux ( gibier), hébergement historique étaient au rendez-vous .  

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Belle randonnée qui laisse des souvenirs durables. La partie nord de la Grèce est très montagneuse, peu peuplé sauf dans les deux plaines de Thessalie et de l’Epire. En octobre, il y a encore moins de monde, car les villages traversés sont vivants au moins d’août quand les descendants des anciens habitants partis au loin reviennent dans les maisons restaurées. Les couleurs d'automne sont magnifiques. Les chemins ne sont pas faciles à trouver et surtout n’existent plus toujours. Qui va vouloir passer d’une vallée à l’autre par les cols alors que tout peut se faire en voiture ? Nous n’avons croisé aucun randonneur, sauf dans les gorges de Vikos (Zagori). Mais quel plaisir de se diriger seuls pour passer d’une vallée à l’autre comme autrefois. N’hésitez pas, partez, vous ne regretterez  pas votre voyage.

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Le Club Alpin Français organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.

Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.

Le principe : savoir porter son sac à dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

Les 22 et 23 octobre 2022, une nième RC a été organisée, à laquelle ont participé 12 randonneurs.

Le soleil fût au rendez-vous avec des températures entre 14 et 22°C.

Cette RC avec ses 43 km, entre Joigny - Dixmont - Bussy-en-Othe - La Fourchotte, a permis de faire découvrir la forêt d’Othe sous de belles couleurs d’automne, avec en prime des chasses aux champignons.

N'hésitez pas à nous contacter pour de plus amples détails...

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Très belle semaine aux couleurs flamboyantes, un enchantement.

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Très agréable randonnée, semi-itinérante, sans portage finalement. Les couleurs d’automne des mélèzes étaient un peu en retard cette année (plus jaune-vert que orange) faute de froid mais nous avons eu toutes sortes de belles couleurs par ailleurs. Il n’a pas fait froid du tout, à part quelques coups de vents dans les cols. Pas du tout de neige y compris en haute altitude. Une journée grise le dimanche et une humide et pluvieuse le lundi matin mais le reste du temps, grand beau.

Transport et transferts

A cette saison il m’a paru moins risqué de passer par Turin que de se heurter à des cols enneigés mais dans la pratique on aurait pu passer à pied n’importe quel col même à 2800 m pas un poil de neige.

Donc TGV Paris-Turin, traversée de la gare Porta Susa à Porta Nuova à pied, train à Porta Nuova pour Cunéo puis taxi de Cunéo au point le plus haut de la route de la haute vallée de la Maïra à savoir Refuge Campo Base (transfert de 1h30 quand même)

Les billets de train étaient assez chers, entre 90 et 110 € l’aller par exemple, le samedi matin.
Au retour : aucun TGV sur cette ligne durant le WE de Toussaint d’où un retour le vendredi soir.

Au retour nous avons terminé la randonnée à Ponte Marmora (bar Locanda Gentile ouvert) et nous avons pris le bus régulier (N°78 pour Dronero avec correspondance avec le N*92 pour Cunéo. A Cunéo train pour Turin, traversée de la ville et TGV pour Paris.

En été il me semble plus simple d’arriver par la France via le col de Larche au sud, ou par l’Ubaye (Maljasset, vallon de Mary) ou encore par le Queyras plus au nord. Le gros atout étant alors le train de nuit car malgré tout ces sites en sont pas si proches que cela des gares non plus.

Un accès via Nice serait aussi envisageable mais la ligne qui passe par Tende est encore souvent en travaux. Il existe un flixbus qui va de Turin à Nice mais arrive après le départ du train de nuit.

Pour le taxi nous avons utilisé les services de Gianni Pilotto, Sherpabus : 130 euros de Cunéo à Campo Base pour le groupe. C’est lui aussi qui a assuré le transfert des bagages du refuge Campo Base au refuge Viviere puis de Viviere à Marmora. 9 € par bagage soit 72 € en tout (nous avions groupé nos affaires dans 4 sacs en tout pour 8, limite max 15 kg). Il est effectivement dommage de se priver de ce service pour 9 € par personne étant donné que nos hébergements étaient tous accessibles par une route.

Adresse mail : sherpabus@libero.it

 Randonnées et marches

A part le dernier jour raccourci et la traversée par le col d’Enchiaussa, tout à fait conforme aux propositions de la fiche technique.

J1 : Histoire de se dégourdir les jambes après tous ces transports nous faisons un aller-retour au village de Chiappera qui vaut bien la visite.

J2 : Direction la haute vallée vers le col de Mary. Nous passons par le col Gregory (2320) à droite de l’aiguille Provenzale et là deux possibilités, soit poursuivre vers le col Bellini, soit aller dans le vallon de Mary. Nous avons choisi ce dernier jusqu’au petit lac sous le col (2434 m) et retour par le vallon principal. (+1130m / - 1130m / 15 km)

J3 : Temps humide et orageux sur les sommets, nous visons le tour de la vallée, descente jusqu’à Acceglio par la rive gauche en sentier balcon, et retour par la rive droite, plus en fond de vallée. Nous suivons globalement un sentier que nous découvrons sur le terrain, le sentier « Davide camina con noi ». Ce Davide est décédé en 2020 et cet itinéraire lui a été dédié et créé en sa mémoire. Il est balisé avec des pattes d’ours. Nous ne trouverons pas un seul bar ouvert, ni à Acceglio, ni à Ponte Maïra, il est vrai que nous sommes lundi. (+750 m / - 750 m / 18 km)

J4 : Nous sommes bien en jambes, il fait un temps splendide, il n’y a pas de neige en altitude, nous avons le sac léger de la journée, je décide donc de faire passer le groupe par le col d’Enchiaussa (2730 m) ce qui permet un magnifique itinéraire de haute montagne pour rejoindre le refuge Viviere. Une journée « soutenue » dans la semaine. (+1386 m / - 1325 m / 17 km). La fin de la montée du col est bien raide.

J5 : Boucle à partir du refuge Viviere via le col de la Gardetta, le col Rocca Bianca, et le col Oserot. A noter : le secteur craint pas mal les éboulements. Temps splendide aussi. (+ 1030 m / - 1030 m / 14 km)

J6 : Traversée du refuge Viviere à Marmora par le col Soleglio Bue. (+ 820 m / - 1260 m / 14 km)

J7 : Descente sur Ponte Marmora (demie journée à peine) avec sacs complets. 

Hébergements

Refuge Campo Base (3 nuits) à 1km de Chiappera : bien, 2 chambres de 4 pour le groupe. Nous sommes les seuls dans la partie refuge. Radiateurs et douches bien chaudes. Un problème de punaises la première nuit dans la chambre Oronaye, je les ai payées d’une nuit blanche. Changement de chambre pour les 2 nuits suivantes. Bons dîners sauf le risotto pas cuit.

Refuge Viviere (2 nuits) au-dessus de Chialvetta : Conseillé par Thierry B. du ski de randonnée. N’a de refuge que le nom. Prestations hôtelières, chambre de 2 avec draps et serviettes. Sauna inclus dans le tarif, et repas gastronomiques. Une excellente adresse que je recommande ainsi que l’accueil de Fabrizio.

Gîte-Locanda Lou Pitavin (1 nuit) à Finello (hameau de Marmora) : Grand bâtiment avec 2 chambres-dortoir de 4 assez basiques avec sanitaires, et des chambres d’hôtel par ailleurs. Assez cher globalement. Des petits salons et bars sympas. Un dîner type restaurant avec plein de plats et beaucoup de convives alors que nous étions seuls dans les autres hébergements.

Si le niveau des randonnées était globalement du M+ (moyen plus) le niveau des repas était du SP (sportif) !
Nous avons également tous bien progressé en vins italiens en particulier sur les Barbera d’Asti et d’Alba.

Compléments pour Turin :

Auberge de jeunesse (hostel) : Tomato Backpackers, chambres individuelles avec sanitaires et fenêtre pour 39 € la nuit (sans petit déjeuner). Salle à manger-salon et cour-jardin très agréable. Assez proche de la gare de Porta Nuova.

AirB&B : Près de la gare de Porta Susa. B&B Piffetti, 12 via Pietro Piffetti, chez Sylvia, lien https://www.airbnb.fr/rooms/7697134

Repas rapide entre les deux gares : La Dolce Passione, Corso Vittorio Emmanuele
Dîner du soir : Da Frasca, cuisine piémontaise, assez bien.

Courses-Ravitaillements : Aucun

Tous les hébergements proposent des sandwiches ou des salades (avec plus ou moins de bonheur gustatif)

Groupe

Bon groupe bonne ambiance. Bon échange entre les participants et des discussions intéressantes. Je pense que 8 est le bon chiffre pour les groupes de ce type.

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Randonnée camping dans un endroit peu connu du Grand Est, le plateau de Langres.

Météo très convenable et même ensoleillée par moments.

Samedi : visite rapide de Langres et 19 km de marche (+470 / - 350) (arrivée du TER à 10h32). Surtout des champs.
Pas vu d'eau au réservoir de la Mouche (côté Perrancey). Fin à l'église des 3 Jumeaux de Saints-Geosmes mais bien sûr fermée.

Dimanche : le sud du département, plus vallonné et forestier. 22km + 500 m / - 555 m.

En particulier, tour du village de Vivey, Marais de Chalmessin (réserve naturelle), hutte de charbonniers remise en situation, village de Praslay, ancienne forge de la Thuillière, fin à Auberive. Quasiment entièrement dans le parc national de forêts.

Chanterelles, pieds de mouton.

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Bon vin, bon temps, bonne randonnée, bon participant, bon chemin.

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Belle sortie, jolis harengs, bonne ambiance.

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Pas de mauvaises surprises de parcours (chemin qui n’existe plus ou passage interdit par une propriété privée).

Le temps était au froid comme prévu, sans gelée blanche pendant la nuit. Le dimanche, le fin grésil de début de matinée s’est transformé en bruine froide sans pour autant déborder sur l’après-midi. 

Ça y est, nous sommes bien en hiver, mais randonner en bonne compagnie réchauffe les cœurs !!

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quatre vaillants, en mode trappeur, ont affrontés un peu de froid ( - 4 ) mais aussi un beau ciel étoilé.

Quatre autres ont déclinés l'aventure. Il sont restés au chaud. 

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Cette douzième édition de l'ultime RC de l'année demandait un certain courage, pour braver le froid (-6 à -7°, tt de même!).

Un nombre de 16 participants inscrits au départ...

Sympatique groupe, dit aussi les ''givrés du bonnet" et chouette RC au final, dans la beauté des paysages d'hiver.

Avec un concert de chouette au réveil à 7h du matin.

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+15°C le 31 décembre 2022 à 8h30 à Epernay.

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Le Club Alpin Français organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.

Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.

Le principe : savoir porter son sac à dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

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Cette formule WE en gîte pas très loin de Paris (dans la zone couverte par le Pass Navigo) a été très appréciée par des participants qui ne veulent pas faire du camping mais qui acceptent de dormir dans des gîtes au confort un peu sommaire. 

Le gîte le Bolet de Satan, géré par les Amis de la Nature, quoique pas très grand, a une très belle salle au sous-sol avec voûte en pierre et une grande cheminée qui a été très appréciée des 16 participants. Le dortoir, au premier étage, rappelle l'ambiance de certains refuges de haute-montagne. Le dîner préparé par nos soins, a été très convivial. Et le dimanche matin, nous avons eu droit à des croissants tout frais, achetés par une participante à la boulangerie de Recloses qui a du très bon pain et de la très bonne viennoiserie. Nous la recommandons!

Malgré des températures fraîches annoncées, samedi nous avons eu une très belle journée, ce qui nous a permis de faire une longue pause au soleil dans l'après-midi. Dimanche, le ciel était un peu couvert mais températures printanières. 

Le parcours essentiellement en forêt était agréable. 

Dimanche, retour plus tôt que prévu car le groupe a avalé les derniers kilomètres d'un bon pas. 

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Le Club Alpin Français organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.

Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.

Le principe : savoir porter son sac à dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

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Parcours toujours agréables, chaque année à une saison différente et avec quelques variantes.

Le mois de mars 2023 a été moins ensoleillé et sec que souvent, mais la semaine de la sortie s'est heureusement nettement arrangée par rapport aux prévisions. Nous avons donc eu de belles lumières, deux jours de soleil puis des passages ensoleillés les jours suivants, et n'avons essuyé que 3 ou 4 très courtes averses.

La programmation "hors saison" a permis de visiter une île de Bréhat déserte (!), sous un vent fort qui mettait bien en valeur son caractère insulaire et ses paysages.

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