Très belle région, plus variée que je l’imaginais. Au-delà des vastes étendues d’herbe, nous avons aussi traversé de vastes forêts de résineux ou de hêtres.

Les vaches d'Aubrac sont très photogéniques !

Très bon accueil en général.

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Un temps exceptionnel et parfait pour la randonnée en cette fin septembre, beau soleil, belle luminosité et sans la brume estivale. Vue constante sur le Mont Blanc, le Grand Paradis et moyennant quelques efforts sur la chaîne du Mont Rose, le Cervin, et le reste de la chaîne du Mont Blanc.

Transport et transferts

LE point noir du circuit.

J’avais initialement envisagé que chacun achète son billet de train pour Turin, puis via Aoste (train de Turin à Aoste) nous rejoignions Cogne en bus régulier.
Sauf que fin août un éboulement a coupé la ligne de chemin de fer du côté de Modane, interrompant toute relation ferroviaire sur la ligne Paris-Turin. J’envisage un temps que peut être des bus seront mis en remplacement, puisque nous ne recevons aucune notification d’annulation de nos billets de train, mais finalement le 9 septembre, annulation complète de nos billets de train (payé 20 € par certains pour l’aller, dommage !). 

Le départ est seulement deux semaines plus, tard, il faut réagir vite : passer par Chamonix et le tunnel du Mont Blanc ? Mais il était question qu’il ferme pour travaux dès le 15 septembre et surtout il est engorgé par le trafic routier détourné du Fréjus. 

Il reste le col du Petit Saint Bernard via Bourg Saint Maurice et en taxi. 
Après avoir obtenu l’accord de (presque) tous les inscrits, nous achetons des billets pour Bourg Saint Maurice (tarif très correct malgré l’imminence du départ) et je réserve un taxi pour l’aller et le retour.

Au passage je retire cependant une nuit d’hôtel sur place car les trains sont très chers avec retour le dimanche et cela compensera le prix non budgété du taxi dans le coût de la sortie.
Avantage : le trajet est globalement moins long et plus confortable, le dimanche nous n’aurions rien fait d’autre que le trajet du retour en fait. Le groupe étant de 11 personnes il a fallu prendre 2 taxis, si nous avions été seulement 8 nous pouvions utiliser un seul taxi.

Taxi utilisé : Tarentaise Taxi, montant 210 euros par véhicule et par trajet soit 840 en tout. C’est la période creuse pour eux.

Le TER de Chambéry à Bourg-Saint-Maurice étant un car de remplacement n’a pas permis au groupe de manger son pique-nique correctement car je n’avais pas prévu de temps mort à l’arrivée du TER !

Navettes gratuites sur place : Départ de 8h45 de Gimillan, elle va d’abord à Lillaz puis Valnontey à 9h20.
Le soir la dernière qui remonte à Gimillan est un peu tôt, à 16h20. Si on va à Valnontey comme nous avons fait le jeudi, il faut être de retour à Valnontey à 15h25 pour remonter à Gimillan avec. Autant l’horaire du matin est bien à cette saison, autant le soir c’est trop tôt. Nous sommes 3 à avoir préféré rester et prolonger la randonnée, ainsi que prendre un pot à Valnontey, pour prendre la navette suivante à Valnontey à 17h30 mais évidemment remontée des 275 m à pieds en final !

Randonnées et marches

Mardi : après les heures de transport : 2h de mise en jambe aux alentours de Gimillan
Mercredi : AR au col Garin depuis Gimillan (+ 1060 m / 14 km environ)
Jeudi : navette pour Valnontey à 8h45 puis AR au refuge Vittorio Sella (+1070 m, 12 km), 3 personnes vont jusqu’au petit lac et remontent ensuite de Cogne à Gimillan à pied car la dernière navette est assez tôt. Curieusement presque pas de bouquetin dans cet itinéraire pourtant très fréquentés par ceux-ci.
Vendredi : Vallon de Grauson jusqu’au col de Saint Marcel, sans aucun doute la plus belle journée. Retour par le chemin rive droite assez fatiguant. (+ 1300 m / 19 km)
Samedi : défilé des vaches, shopping, bar, farniente. Récupération des bagages puis taxi vers 15h.

Hébergement

Albergo Belvedere à Gimillan : une valeur sûre !
4 chambres de 2 et 3 chambres de 1

Courses-Ravitaillements

A Gimillan : Une petite épicerie qui a beaucoup de produits alimentaires, fermée le mercredi.
Tout ce qu’il faut à Cogne.

Groupe

Bon groupe, très bonne ambiance. 

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avec ce temps splendide, nous avons fait un bon bivouac avec le brame du cerf et une visite nocturne sur le lieu du bivouac ( sanglier) : On avait planqué la bouffe.

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La région semble peu connue, elle est pourtant facile d’accès depuis Paris. Le fait de faire une boucle autour d’un lieu remarquable (ici le lac de retenue en amont du barrage de Grangent) procure des vues différentes sur ce lieu, ce qui a été très apprécié.

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Hébergement à Dijon au Centre de Rencontres Internationales (CRI). C'est dans le genre Auberge de Jeunesse, mais un peu loin de la gare et du centre-ville. Il y a deux moyens de s'y rendre depuis la gare :

1) Prendre le Tram 1 jusqu'à l'arrêt Poincaré. Puis, prendre à pied la rue des Ribottées perpendiculaire à l'av.Poincaré, tout droit, jusqu'au CRI (10/15 min à pied).

2) Prendre le Tram 1 jusqu'à l'arrêt Grésilles-Trimollet. Puis, prendre le bus L3 direction Epirey - Capnord, jusqu'à l'arrêt Dallas CRI.

A Nuits-Saint-Georges : La maison Moillard propose une visite de sa cave avec dégustation commentée tout à fait passionnante (8€).

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Le CAF organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.
Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.
Le principe : porter sa maison sur son dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

Les 20 et 21 octobre 2023, 10 randonneurs ont participé à cette RC.
Organisée hors Ile-de-France, avec 42 km entre Épernon et Maintenon en passant par Bouglainval, et une dégustation à la microbrasserie artisanale Funk, a permis de découvrir de beaux paysages et l'aqueduc ruiné de Pontgouin.
Le vent (30 à 60 km/h) fût au rendez-vous pour chasser temporairement la pluie, celle-ci s’invita toutefois le temps de notre bivouac, mais n'ébranla pas le moral de notre équipe.

Trajets :
SAMEDI 20 OCTOBRE (24 km) & DIMANCHE 21 OCTOBRE (18 km)

N'hésitez pas à me contacter pour de plus amples détails...

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Les Calanques sont une destination très intéressante à cette époque de l'année car le climat y est doux et agréable, sauf quand le vent souffle et fait alors chuter considérablement les températures ou apporte la pluie. Mais cela ne s'est pas produit pendant notre séjour.

Les nombreux sentiers permettent de faire de belles randonnées sur un terrain très contrasté, pouvant être très fatigant. 

Les points de vue, tantôt sur la mer et les calanques, tantôt sur les sommets et l'arrière-pays, sont tout aussi variés et extraordinaires. C'est un paysage tricolore permanent, bleu blanc vert, qui ravit la vue, avec toutes les nuances du bleu dès que l'on s'approche de l'eau. 

Les déplacements en bus et métro pour accéder au départ des sentiers peuvent paraître pénibles mais cette pénibilité est oubliée dès qu'on commence à marcher, tellement les circuits sont variés. 

Les journées, du fait des transports en commun incontournables, et d'un programme ambitieux, sont longues, mais la présence de deux organisatrices a permis de proposer à deux occasions des parcours différenciés en fin d'après-midi.

 La visite de Marseille aussi est incontournable.

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C'est toujours un grand bonheur d'aller se balader en montagne fin octobre. les première neiges étaient  présentes à 2400 m pour ce séjour avec du soleil ! 

Deux participants sont restés au chaud deux jours pour problème de gastro. 

En fin de semaine, nous avons pu rassembler tout le groupe ( en pleine forme) pour grimper dans les hautes altitudes du Queyras ( 2800 m ).

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Randonnée agréable dans une région très sauvage. Il y a peu de villages, quelques maisons au fond de la vallée d’el Terme du côté français. La végétation méditerranéenne, dense, couvre bien tout l’itinéraire choisi. Les couleurs d’automne étaient belles sur le versant français, grâce aux nombreux châtaigniers. Ce qui n’était pas le cas du du côté espagnol, car les pentes des parcs naturels d’interêt national sont couvertes de plantations de chênes-lièges (feuilles non caduques), de chênes verts et de quelques hêtres. Heureusement les arbres sont assez souvent assez vieux et se montrent très décoratifs (cf les photos). Les chênes-lièges sont bien adaptés au réchauffement climatique, car ils supportent la sécheresse, ne brûlent pas (la couche épaisse du liège permet à l’arbre de résister aux incendies en isolant les tissus vivants de la chaleur) et aiment un bon ensoleillement. Ils sont adaptés au terrain sableux, ce qui est le cas de L’Albère.  Les collines près de Llança sont très dénudées, suite à de nombreux incendies. Toute la région est parcourue de terrasses anciennes, même dans les plantations. Le sol est granitique entre Arles-sur-Tech et le col de las Illas où nous avons quitté la France et schisteux dans L’Albère. Nous n’avons aperçu aucunes traces d’incendie récentes dans la région parcourue et ce jusqu’à la mer. Les chemins dans l’Albère espagnole sont généralement très larges (sans doute utilisés pour l’exploitation, bien présente, du liège). Seuls quelques passages permettant d’atteindre les cols sont sur sentiers. Ceux-ci paraissent peu parcourus car la végétation, très agressive dans cette région, nous laissait à peine passer. La fin du GR 11 est désagréable, car l’avant-dernière étape d’Espolla à Vilamaniscle était sur plus de 50 % de la distance sur routes goudronnées. J’ai supprimé la dernière étape et nous sommes montés au Puig d’Esquers (600 m), situé à l’ouest de Llança, par des chemins trouvés sur la carte topographique de Catalogne.
La météo nous a été favorable. Nous avons eu une nuit de pluie, mais le soleil brillait au matin. Les nuits étaient fraîches, mais les températures étaient agréables dans la journée et le ciel s’est souvent partagé entre le soleil et les nuages.

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Nous avons eu de la change pour ce weekend bivouac. Bonne météo et la Cure est restée dans sont lit. Bon bivouac au sec.

Une randonnée Idyllique pour ces deux jours.

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Toujours un grand bonheur d'aller gambader parmi les vignes du précieux nectar. 

Bonne dégustation sur le parcours et super gite d'étape dans les Remparts d'une belle demeure.

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En raison des conditions hivernales (gel prévu pendant la nuit) et des maladies saisonnières (rhume, COVID), la moitié des inscrits s’est désistée. Pour les participants, la journée de samedi s’est déroulée dans une ambiance froide mais agrémentée de quelques rayons de soleil. Nous avions tous et toutes une tente, un matelas et un sac de couchage performants, ce qui nous a permis de passer une nuit au chaud malgré la température négative (-2 ° C). En quittant le lieu du bivouac, un fin grésil s’est mis à tomber. Pour la suite de la journée, ciel gris et nuageux mais néanmoins sans pluie.

Mais tout compte fait, mieux vaut le froid que la pluie !

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Les marchés de Noel sont toujours de belles journées festives à Munster, Kaysersberg,  Riquewihr et Colmar mais aussi de superbes randonnées dans les vignes vosgiennes.

Nous avons eu une participantes qui n'était pas en forme et qui a repris le bus pour Colmar le dimanche matin. 

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Le CAF organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.
Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.
Le principe : porter sa maison sur son dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

Cette fois, les 16 et 17 décembre 2023, s’est déroulé « L'ultime RC de l'année » pour sa 13ème édition, avec 13 randonneurs.

Organisée en Ile-de-France avec 30 km entre Arpajon et Dourdan, en passant par Saint-Chéron et ses commerces (sa poissonnerie et ses huitres, ou, sa boucherie et ses saucisses) qui nous permis de nous ravitailler.

Celle-ci nous permis de découvrir de beaux paysages vallonnés avec fermes et champs. Les températures en journée (entre 3 à 5°C), et qui furent plus fraîches la nuit (-2 à -4°C) lors de notre bivouac, nous ravirent.

Cette dernière RC de l’année s’est conclu le dimanche par un déjeuner tout autant dépaysant avec des saveurs Népalaises (https://www.saveurshimalaya.fr/)

Trajets :

SAMEDI 16 DÉCEMBRE (20 km) & DIMANCHE 17 DÉCEMBRE (11 km)

N'hésitez pas à nous contacter pour de plus amples détails...

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Quatre vaillants randonneurs bivouaqueurs ont bravés un weekend glacial. (- 5 sous abris) .  Nous avons pu tester nos équipements pour le prochain voyage  ( le Québec en février ) .

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Le CAF organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.

Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.

Le principe : porter sa maison sur son dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

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L’Estrémadure fut une très belle découverte pour sept d’entre nous. Les montagnes sont belles au printemps (pendant les autres saisons, je ne sais pas…). Les villes et villages sont magnifiques. La population est très accueillante, les restaurants ont été bons. Le seul point noir, l’heure des repas (20h30 ou le plus souvent 21h).

Salamanque est une très belle ville en son vieux centre, la périphérie comme dans tant d’autres grandes viles européennes ne l’est pas.
Les premières randonnées étaient situées au pied de la pointe ouest de la Sierra de Gredos. Ce furent les randonnées les plus montagneuses. L’ascension de La Muela, randonnée de mise en jambes au nord-ouest de la Sierra de Béjar, nous a donné l’occasion de toucher la neige encore présente à 1 500 m environ et de la voir sur le sommet de la Sierra qui nous faisait face. Les deux randonnées suivantes nous ont permis de découvrir la vallée de la Jerte, vallée de production des cerises en Espagne : 40 000 tonnes y sont produites chaque année. Les arbres étaient en fleurs du fond de la vallée jusqu’en haut des collines. Les cascades de Nogaleas sont très belles, surtout après une période de pluie abondante, comme cela a été le cas pour nous. Il vaut mieux voir les cascades de Papuos avant celles-là, car elles sont moins spectaculaires, bien que la vallée remontée soit paisible et verdoyante. La randonnée des pilons (baignoires dans le torrent des Los pilones) permet d’approcher les fameuses baignoires et fait parcourir une vallée qui devient de plus en plus sauvage  : on aurait pu en continuant la traversée de la Sierra de Tormantos arriver à Guijo de Santa Barbara, notre étape suivante.
Dans ce dernier village, nous avons fait la randonnée que j’ai préférée, car c’était celle qui rappelait le plus la montagne alpine. Nous avions face à nous la crête de la Sierra de Tormantos, qui prolonge à l’ouest la Sierra de Gredos. C’était aussi la plus longue. La descente sur un terrain difficile (et non pentu comme indiqué dans le topo-guide) nous a amenés au parking à la nuit tombée.
Nous n’avons pas pu visiter le monastère.
Nous sommes ensuite partis pour une longue journée de route et de visites culturelles, toutes plus enrichissantes les unes que les autres. Le lendemain nous sommes allés jusqu’à Mérida, où la visite des ruines romaines, magnifiques, ont occupé toute notre journée.
Nous avons continué notre descente vers le sud jusqu’à La Zarza. Nos deux balades dans des collines verdoyantes et toutes fleuries ont comblé notre aspiration à profiter du printemps.
Nous avons alors repris la voiture pour remonter dans le nord de l’Estrémadure, à la frontière du Portugal. Nous avons pu faire la randonnée dans la Sierra de Gata, avant que la météo ne nous contraigne à arrêter. La montée sur la crête s’est faite sous le soleil avec une belle vue sur la plaine. Mais la descente s’est faite dans les nuages et sous la pluie. Nous n’avons pas pu monter au Pic Janona qui était invisible. La crête était recouverte d’une très belle bruyère rose d’Espagne en pleine floraison.
La météo de la journée qui a suivi a été épouvantable. Nous avons profité de la maison où nous étions logés et visité les villages d’Hoyos et Trevejo. Ces villages sont peu modernisés et bien fleuris.
Nous espérions nous rattraper le lendemain avec la randonnée au pic de Jalama. Malheureusement, ce dernier était dans les nuages, ceux-ci descendaient jusqu’au départ de la randonnée et plus on s’élevait, plus il pleuvait. Nous avons fait le choix de continuer des visites en ville. Nous avons visité le village de San Martin de Trevejo et la ville de Ciudad Rodrigues, avant de prendre la route pour Salamanque où plusieurs participants souhaitaient voir les processions du vendredi Saint.
Le terrain n’est pas toujours facile et il vaut mieux avoir le pied montagnard pour la plupart des randonnées que j’avais retenues.

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Nous avons profité pleinement du week-end pour découvrir la richesse du patrimoine Art Nouveau de Bruxelles. Outre les 5 visites de lieux habituellement fermés au public, nous avons réalisé 2 circuits Art Nouveau : un autour du quartier des squares et l'autre vers St Gilles, Forest et Ixelles. On en a pris plein les yeux, avec des commentaires très pointus de passionnés. Cet art éphémère, stoppé par la guerre et les nécessités économiques de la reconstruction est époustouflant d'imagination et de beauté. Bruxelles en est bien le berceau et la capitale.

Hélène 

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Magnifique, bleu, blanc et vert comme prévu, avec une touche de rouge pour les bateaux et les coupe vent, d'orange pour le Cap Canaille et le sable du Sahara, de jaune pour l'auberge. À refaire.

Hélène 

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Cette RC s’est déroulée dans des conditions météo presque idéales : températures agréables pendant la journée et la nuit, peu de pluie. Si nous avons parfois pesté contre les chemins trop boueux et les ornières pleines d’eau, nous avons malgré tout marché d’un bon pas.

Pour le fun, nous avons fait une petite pause sur les bancs d’un centre hospitalier ; certains d’entre nous ont même testé les boissons servies à la cafétaria.   

Nous avons également apprécié la pelouse du jardin pour poser nos tentes, ce qui nous a changé des sous-bois offrant un terrain souvent inégal et humide.  

Que dire de l’accueil de Dominique à sa table ? Royal, évidemment ! nous avons partagé des plats, des rires et des bons mots avant de nous coucher dans nos tentes respectives (trop exiguë pour certaine).

Sur le terrain, nous avons dû aménager légèrement le parcours en raison de chemins privés avec accès interdit par panneau d’affichage. Nous avons également pu constater quelques écarts entre la carte IGN papier et la carte IGN sur smartphone.

Comme les éditions précédentes, cette 3ème édition de bivouac dans un jardin forgeois fut une réussite !

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Belle campagne, belle randonnée et bon vin malgré les grosses perturbations SNCF ( 5 h Paris Auxerre) .

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Le CAF organise des Randonnée-Camping (RC) tout au long de l'année.

Cette activité permet de s’oxygéner avec un grand bol air pendant au moins deux jours.

Le principe : porter sa maison sur son dos, marcher 40 km environ sur deux jours, dormir sous tente (notre refuge d'une nuit), être participatif...

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